La tercera entrega de la saga Blackwater, "La casa", profundiza en los oscuros secretos y las tensiones familiares que han caracterizado esta serie desde el principio. McDowell nos sumerge en la década de 1920, en un ambiente marcado por la Gran Depresión, donde los Caskey, una familia de terratenientes, continúan sus intrigas y rivalidades.
La mansión de los Caskey cobra vida propia, convirtiéndose en un personaje más de la historia. Sus paredes esconden secretos y presencias inquietantes que atormentan a sus habitantes.
La relación entre Mary-Love y Elinor, suegra y nuera, alcanza su punto álgido. Sus enfrentamientos y manipulaciones tienen consecuencias devastadoras para todos los miembros de la familia.
McDowell nos sumerge en un ambiente opresivo y lleno de suspense. Los eventos sobrenaturales se entrelazan con las realidades psicológicas de los personajes, creando una atmósfera de terror psicológico que te mantendrá al borde del asiento.
A lo largo de la novela, los personajes evolucionan y revelan facetas de su personalidad que los hacen más complejos y fascinantes.
McDowell demuestra una vez más su habilidad para crear atmósferas densas y personajes inolvidables. Su prosa es rica en detalles y evoca a la perfección la época y el lugar en el que se desarrolla la historia.
Para los amantes del terror gótico y psicológico; A quienes disfrutan de las sagas familiares con secretos oscuros; A aquellos que buscan una lectura intensa y absorbente; A los fans de los autores como Stephen King y Shirley Jackson.
En resumen, "La casa" es una novela imprescindible para los seguidores de la saga Blackwater. McDowell nos ofrece una conclusión a la altura de las expectativas, llena de giros inesperados y momentos escalofriantes. Si te gustan las historias que te ponen los pelos de punta y te hacen reflexionar sobre la naturaleza humana, no puedes perderte esta obra maestra del terror.
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1928 à Perdido. Alors que le clan Caskey se déchire dans la guerre intestine et sans merci que se livrent Mary-Love et sa belle-fille, et tandis que d'autres crises - conjugales, économiques, existentielles - aux répercussions défiant l'imagination se profilent, dans les recoins sombres de la maison d'Elinor, la plus grande de la ville, les mauvais souvenirs rôdent et tissent, implacables, leurs toiles mortelles.Au-delà des manipulations et des rebondissements, de l'amour et de la haine, Michael McDowell (1950-1999), co-créateur des mythiques Beetlejuice et L'Étrange Noël de Monsieur Jack, et auteur d'une trentaine de livres, réussit avec Blackwater à bâtir une saga en six romans aussi addictive qu'une série Netflix, baignée d'une atmosphère unique et fascinante digne de Stephen King.
Découvrez le troisième épisode de Blackwater, une saga matriarcale teintée de surnaturel avec un soupçon d'horreur.
Presse
À la façon d'un fleuve, le style de Michael McDowell coule de source, et il ne lui faut pas plus d'une dizaine de pages pour nous plonger dans ce petit monde. Morts (plus ou moins naturelles), mariages, naissances, maladies, luttes de pouvoir et d'influence, Michael McDowell tisse une fascinante histoire de transmission à rebours des conventions. ― Elle
Métamorphoses et fantômes ne sont que quelques-uns des ressorts fantastiques qui irriguent ici le réalisme de surface, drapant de bout en bout Blackwater d'une inquiétante, délicieuse, irrésistible étrangeté. ― Télérama
Cette fresque intensément romanesque bouleverse, effraie, fascine et transporte. Ses personnages féminins en particulier, se révèlent inoubliables. Des heures de lectures intenses au cœur de la contrée imaginaire de Perdido. ― Lire
Son style n'a rien de banal, qui mélange avec audace des images frappantes, un humour noir nourri par son regard acerbe sur les mœurs et des hallucinations effrayantes. - Les Inrocks
Michael McDowell se souciait fort peu de la postérité. Il se targuait d'être un "écrivain commercial", un "artisan" dont le style était guidé par la recherche de clarté et de précision. Son dessein était aussi humble qu'ambitieux : procurer du plaisir aux lecteurs. Force est de constater que celui-ci demeure inentamé au fil des ans. Blackwater, c'est le plaisir retrouvé du roman-feuilleton. ― Le Monde